MARIE, MODÈLE D’ESPÉRANCE
C’est à Rome que depuis 1724 le mois de mai fut dédié à Marie, la Mère de Jésus.
Le mois marial commence avec la fête de Saint Joseph, le travailleur, et s’achève avec la visite de Marie à sa cousine Elisabeth.
Mai, c’est aussi l’entrée en printemps, période de la reprise de la vie, de la renaissance. C’est aussi le temps de remettre en route sa vie spirituelle, de renouveler et fortifier notre espérance en cette année jubilaire.
Ne chantons-nous pas: Marie, « la première en chemin ». En effet, sans savoir comment cela se réalisera alors qu’elle ne connaît pas d’homme, son « Fiat » est un véritable acte de foi et d’espérance. La visite à Elisabeth lève certes un doute. Elisabeth est enceinte!
Retrouvé au temple après trois jours, Jésus répond: « Ne savez-vous pas que je dois être chez mon Père »!
Marie choisit d’accompagner dans le silence la douloureuse montée de son fils au calvaire. En confiant sa mère au disciple qu’il aimait, Jésus rassure sa mère.
Alors que tout semble s’assombrir et même un échec, Marie gardait confiance en Dieu.
L’Église honore notre Dame du ciel dans la solennité de l’Assomption. En vertu des mystères et mérites du Christ, sa mère et la nôtre fut élevée au ciel dans son corps et son âme.
Notre Dame continue de collaborer au dessein de Dieu de sauver l’humanité.
Lors de son apparition à la Soeur Lucie de Fatima le 10 décembre 1925, à Pontevedra, notre Dame du ciel révèle deux moyens pour sauver le monde: la prière et le sacrifice. Le Rosaire et la dévotion au cœur de Marie sont non seulement des voies d’approfondissement des mystères du Christ mais aussi l’occasion de lui confier nos intentions de prière.
Bonne dévotion!
Onésime